Arrivants en France

Comment aider à leur scolarisation ?

La situation des migrants mineurs isolés (Mineurs non accompagnés ou MNA) est préoccupante en France. De nombreuses initiatives existent au sein de l’Enseignement catholique en France, permettant de scolariser ces jeunes, en lien avec différentes structures d’accueil et d’accompagnement.

À Paris, confronté directement à la crise des migrants, l’ensemble des établissements catholiques du 18e arrondissement a fait le choix de se mobiliser, avec le soutien des familles, pour les jeunes mineurs non accompagnés aux côtés de l’Association Solidarité Notre-Dame de Tanger.

Pour les soutenir dans leur engagement et dans l’espoir d’élargir cette solidarité à toute la capitale, l’Enseignement catholique de Paris sollicite la générosité de tous à travers une campagne d’appel à don par la Fondation Saint Matthieu Paris. Les besoins à prendre en charge restent divers et multiples : fournitures scolaires, places en internat, temps libre pour l’alphabétisation et l’apprentissage du français.

Élèves allophones (non-francophones)

Les élèves allophones arrivants peuvent être scolarisés au sein d’une unité pédagogique (UPE2A) implantée en établissement scolaire. Quatre collèges parisiens proposent ce dispositif ayant pour objectif l’apprentissage du français, langue de scolarisation :

Organismes partenaires d’aide aux réfugiés

Pour plus de renseignements : Alice de Rambuteau

À l’Assomption-Lübeck

À l’Assomption-Lübeck

Les élèves ukrainiens scolarisés à L'Assomption-Lübeck (14 élèves en primaire, collège et lycée) et à La Tour (11 élèves en collège et lycée) et leur familles, les familles qui accueillent et les professionnels qui scolarisent, se retrouvent lors d'un déjeuner à...

À Saint-Éloi

À Saint-Éloi

Tima fait son entrée à Saint-Éloi, en CP. Il est arrivé en France il y a quelques jours, et est épaulé par les enseignants et les élèves dans les apprentissages nouveaux.

À Lamazou

À Lamazou

L'école primaire Lamazouaccueille un nouvel élève cette semaine, qui arrive avec son frère aîné d'Ukraine.

À Paul Claudel-d’Hulst

À Paul Claudel-d’Hulst

Les élèves de Paul-Claudel d'Hulst organisent une collecte de produits d'hygiène et de première nécessité qui seront acheminés en direction des pays frontaliers de l'Ukraine où se trouvent des réfugiés.

À La Madone

À La Madone

Les élèves ukrainiens accueillis dans le groupe scolaire La Madone participent au cours, et bénéficient du soutien existant dans l'établissement pour les élèves allophones.

À Notre-Dame de Lourdes

À Notre-Dame de Lourdes

À Notre-Dame de Lourdes, l’ensemble de la communauté éducative accueillera Arsenii à partir de lundi. Ainsi, outre le soutien de sa scolarité par l'Association des parents d'élèves et par l'établissement, l'accueil dans une classe, ainsi qu'au sein du dispositif Ulis...

Webinaire « Scolarisation des enfants ukrainiens »

Webinaire « Scolarisation des enfants ukrainiens »

Le département Éducation du Sgec propose un webinaire sur l'accueil des familles ukrainiennes et la scolarisation d'un élève allophone. Webinaire disponible sur la chaine YouTube de l’Enseignement catholique.

À La Salle – Notre-Dame de la Gare

À La Salle – Notre-Dame de la Gare

Rostyslav fera son entrée demain en 5e à Lasalle - Notre-Dame de la Gare. Ne parlant pas notre langue, il sera accompagné par ses nouveaux camarades pour ce premier bain francophone.

À Saint-Victor

À Saint-Victor

Les élèves de Saint-Victor se sont mobilisés pendant deux semaines pour réunir six sacs de médicaments, produits d'hygiène, couvertures. Ceux-ci sont acheminés à la mairie du 5e. Lundi, les élèves de CM1 et CM2 participeront place du Panthéon à un lâcher de ballons...

À Saint-Thomas d’Aquin

À Saint-Thomas d’Aquin

Au lycée Saint-Thomas d'Aquin, élèves et professeurs ont rempli 15 cartons de produits de première nécessité : la Mairie du 15e arrondissement se chargera de leur acheminement en Ukraine.

À l’Assomption-Lübeck

À l’Assomption-Lübeck

L’Assomption-Lübeck accueille cinq enfants ukrainiens d’ici le 25 mars 2022. Lire l’article de Marie-Liévine Michalik, Le Figaro